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Yo!

BookLauraBonanni_parAliceBarbosa17_edite


 

 

 

 

Et dans les vagues qui s'écrasent les jours de tempête, les embruns éclatent ton absence jusque sur mon visage.

Et je ris. Je rirais toujours, je ne cesserais jamais de rire.

 

 

 

J'aime ce qui n'a pas de sens

Je n'aime pas ce qui est figé.

Ça tourne!
Formations
Le grand écran

Ecoles "La Cuarta Pared" Madrid

"Charles Dullin" Paris

Camille B. Lojkine

Libre et assoupi B. Guedj

Choses importantes à savoir avant de m'embaucher pour le rôle principal de votre prochain film
La petite lucarne

Chefs A. Malherbe

Les courts 

Je rentre le ventre vide F.Frenkel

Les rires et les larmes de Lise M. Soyez

Sanctorum R. Plourde

Les gitans A. Prioul

Les « séquences sans conséquences », F. Frenkel:

«l’espace d’un instant »,« quelque chose à vous dire »,« une vibration dans l’air »

Fanny G. André & R. Berthier

L'aventure amoureuse J. Salomon

De cape et d’épée C. Herreros

Banc Public « Cherchez la femme » K. Valard

Sur les planches
Training caméra 

Maison du film avec A. Prioul

Emotions fortes et précision technique

Direction d’acteurs et jeu caméra

Acting international: Action!

Régime alimentaire:

aucun régime spécifique mais j'ai un faible pour tout ce qui est plat italien: pizze, spaghettis etc...

Souhait et confort: proche de la mer si possible et chambre avec vue.

Petit déjeuner: thé au lait, pan con aceite y tomate avec parfois une tranche de jambon serrano coupée bien fine.

Théâtre du Riscochet, Nantes : pièces pour enfants, "Le Chat botté", "Merlin l’enchanteur", "Le petit chaperon rouge"
Feydeau: "Feu la mère de madame", "Monsieur Nounou"
Comédies: "On ne magouille pas avec les impôts", "L'affaire"

« Oh collectif », Paris : création à partir du mythe de Tristan et Iseult, S.   Mordy

"Le dernier message du cosmonaute (...) " D.Greig, A. Barbosa

Carte d'identité 

Taille: 1m65

Cheveux: châtains foncés

Couleurs des yeux: verts

Taille veste et pantalon: 36

Chaussures: 38

Chapeau bas: 59 (grosse tête)

Pasaporte!

Je certifie que Laura Bonanni, à l'âge de 19 ans est partie vivre deux ans à Madrid, ce qui lui a permis d'apprendre l'espagnol, de faire du théâtre en espagnol, oui Madame, et de découvrir le flamenco, les tortillas y los abrazos.

Je certifie d'autre part que Laura Bonanni, pour fuir peut-être une certaine grisaille de sa prime jeunesse, ça on ne sait pas, elle ne nous l'a pas précisé, est partie à l'âge de 14 ans en Afrique, de Martigues jusqu'à la Gambie, en voilier. Il nous a été rapporté qu'elle y a fait du théâtre avec les habitants des villages, découvert des pays aux multiples couleurs, appris la navigation et les quarts de nuit mais également découvert le mal de mer.

Musica et cetera!

Flûte traversière: pratique 15 ans

Cabaret : chansons françaises Piaf, Trenet, Reggiani, Lemarque...

Festivals d'orgue de Barbarie, Pinerolo, Italie, Coupe Icare, animation Ehpad

Flamenco: Escuela Amor de Dios – Madrid

Sculpture : Cours avec F. Bourdier

Donner place à l’indicible, faire avec l’invisible.

Je pense à la mer. Aux embruns, à ce qui n'a pas été et à ce qui ne sera pas, au gris des villes en hiver, aux vagues porteuses d'avenir. Le gris des villes en hiver m'invite à de plus longs souvenirs. Le chemin des gouttes sur les vitres m'absente à moi-même. Je ne suis pas celle qui marche dans ces rues vides et la pluie ne fait pas d'ombre aux arbres. Elle est pleine d'espoir.

Je ne veux pas que le vent s'arrête, que les arbres s'en aillent, que les papillons s'endorment, que les forêts étouffent, que le sable s'évapore, que les araignées ne sachent plus tisser leurs toiles, que les oiseaux oublient de chanter. Je ne veux pas que ça se termine, que ça s'arrête, que plus rien ne repousse. Je ne veux pas que les plantes se laissent mourir.

Je veux des vagues dans ma tête et du vent dans mon regard.

Vivir!

Je ne suis pas celle qui marche dans ces rues vides.

Jouer, ne jamais cesser de jouer.

Qui y'a t-il derrière le mur? Un murmure...
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